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Aussi loin que l’on remonte dans l’histoire des techniques, on trouve des traces d’une préoccupation industrielle ( industria = action ou étude en latin ), au sens d’une action consistant à mobiliser les compétences et techniques de l’époque pour répondre avec minutie aux besoins humains. Certains datent ainsi la naissance de la fabrication industirelle moderne à manifestation des arsenaux de Venise, au début du XIIe s.. Mais, dans les descriptions les plus populaires, la manufacture de produit industiel débute avec le machinisme, pour continuer aujourd’hui son évolution vers des pays numériques. La Fabrique de l’Industrie vous propose de revenir sur l’histoire de l’industrie et sur les tenants et les changements de l’économie industrielle.
Au 19e siècle, l’europe et les États-Unis connaissent de grandes transformations financiers et sociales. Stimulés par les progrès techniques, ils s’industrialisent. C’est à cette époque que les chemins de fer ( et les premières locomotives fumantes ) apparaissent, de la même manière que le jour le télégraphe, le appel téléphonique, et les journaux bon marché qui composent rouler plus vite les idées et les toutes nouvelles. La croissance extraordinaire des villes fait de cet âge industriel une époque prodigieuse. La première révolution industrielle est généralement présentée comme le résultat technique accompli à la fin du 18e siècle et au début du 19e s.. Ainsi manifestation et l’amélioration de la machine à vapeur pro en 1769, inventée par la langue anglaise James Watt permet d’actionner d’autres machines et change radicalement les outils de fabrication. Cette période marque manifestation de la mécanisation qui érigera l’industrie en fondements de la structure économique de la société, se substituant ainsi à l’agriculture. L’extraction massive du charbon couplée à cette nouvelle machine à vapeur professionnelle permet de mettre à disposition une énergie nouvelle qui permettra de donner une impulsion aux réseaux ferroviaires et aux partenariats financiers.
À partir des belles saisons 1982, la gauche au pouvoir a privilégié la bataille contre l’inflation en mettant fin à l’indexation des salaires sur les prix, et la défense du franc. Dans le même temps, l’entreprise a été réhabilitée aux dépens de la consommation des foyers afin de relancer l’investissement. Ces orientations indépendantes se sont façonnés pendant les deux cohabitation de 1986 à 1988 sous Jacques Chirac, et de 1993 à 1995 sous Édouard Balladur, avec le nettoyage du contrôle des changes et de l’autorisation administrative de licenciement, et avec les privatisations, puis à nouveau de 1995 à 1997, sous le gouvernement Juppé avec le plan de réforme de la protection sociale et du régime de retraite repoussée à 65 ans dans le privé, la multiplication des assistances aux sociétés.
Cette descente aux enfers va prendre fin début 1994. En moins d’un an, la moitié du chemin perdu est récupérée, et à la période estivale 95, le degré de la création n’est plus qu’à 6% seulement de son dernier pic. Mais l’élan va vite être brisé après les dévaluations en série du Royaume-Uni, de l’Italie, de l’Espagne qui vont provoquer une perte de compétitivité brutale et laminer des pans entiers de la fabrication industirelle française, notamment dans les biens de consommation : le textile-habillement, le cuir, la chaussure, l’électroménager. par ailleurs, le tour de vis budgétaire du gouvernement Juppé, avec notamment la majoration de 2 points de la tva, va casser la consommation des foyers. Une politique de détermination qui s’inscrit dans la perspective de la mise en place de l’euro.
En valeur, l’industrie européenne ne cesse de croître, faiblement mais de temps en temps. L’Union européenne est donc aujourd’hui la second puissance industrielle du monde. Le continent peut s’appuyer sur de multiples entreprises d’envergure, notamment dans les secteurs de la chimie/pharmacie et de l’agroalimentaire en France ou de la mécanique, de la chimie et de la construction mécanique en Allemagne. Volkswagen, Daimler, Siemens, Bayer ou encore ThyssenKrupp sont des références mondiales. L’Italie est de son côté marquée par une prédominance du textile, de l’agroalimentaire et de l’automobile, tandis qu’en Pologne, l’extraction minière, la sidérurgie et la chimie sont les branches les plus importantes.
Latécoére inaugurait en mai dernier sa toute nouvelle usine 4. 0 à Montredon, dans la région toulousaine, une structure vouée à satisfaire d’autant plus sa clientèle en limitant le temps de fabrication des pièces faites. Au programme : des solutions RFID ( Radio Identification ), un suivi en temps réel des stocks, des opérations digitalisées à 100% ( zéro papier ), une autonomie de 18h de ses machines et surtout un déchargement – chargement – contrôle des pièces robotisé. Cette smart factory représente avec ses 6000m2 37 centaines de milliers d’euros d’investissement et est maintenant le symbole de la modernité de Latécoère. Totalement digitalisée et connectée, la société vante même le jumeau numérique de son nouveau centre de fabrication, un site permettant la mise en situation continue des flux de production et des conséquences sur l’optimisation de l’atelier la traçabilité des pièces ou aussi la planification de la sauvegarde.
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